Après les groupes de parole : les cafés deuil

L’Obs a publié hier sur son site un article (malheureusement uniquement accessible aux abonnés) sur les « apéros de la mort » organisés à Paris par Sarah Dumont du site Happy end, média spécialisé sur les obsèques et le deuil, et Sophie Poupard-Bonnet, coach accompagnante de deuil. Les participants peuvent y partager leurs expériences par rapport à la mort et au deuil.

Contrairement aux groupes de parole, cette formule ne nécessite pas d’engagement à assister à toutes les séances du cyle organisé, mais permet aux participants d’y aller au gré de leurs besoins et envies.

Les « cafés mortels » ont vu le jour en 2004 en Suisse, à l’initiative du sociologue et anthropologue Bernard Crettaz, également auteur du livre ‘Cafés mortels, sortir la mort du silence’. Le concept a été adopté dans d’autres pays mais reste encore assez rare.

En Belgique francophone, il n’y a à ma connaissance qu’à Tournai qu’on peut aller régulièrement à un café deuil : celui organisé tous les deux mois par Un deuil à vivre. La RTBF avait organisé un petit reportage sur ce rendez-vous récurrent il y a un peu moins d’un an.

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